Cette citation de Shakespeare et la notion de jour dans la nuit m’évoque mon rapport au sommeil. J’ai toujours eu des problèmes d’insomnies, avec beaucoup d’angoisses. Avec le temps, j’ai appris à les maîtriser. Il y a des périodes où je dors d’une traite, mais Félicia fait exprès de faire du bruit la nuit pour faire ses petites allées-venues. Je suis sensible au bruit, donc je cède, à raison de plusieurs fois par nuit.
Des fois, j’arrive à me rendormir tout de suite, mais ce n’est pas toujours le cas. J’en profite alors pour noter mes rêves dans mon journal et faire émerger des prises de conscience par ce biais. J’ai une forte sensibilité onirique.
Plusieurs de mes romans sont nés d’idées venues en rêve, notamment Partenaires de sang. Par ailleurs, cette semaine, mes tirages de tarot m’ont conseillé de mettre l’accent sur cette analyse de mes rêves. Par contre, même si j’ai des livres ésotériques liés aux symboles et qu’il m’arrive de faire des recherches sur internet concernant des éléments marquants, je m’interroge en premier sur les éléments de ma vie personnelle auxquels mes rêves renvoient. Parfois, en parler à des amis proches me permet de développer l’analyse.
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